LES PORTEURS DU BORNE

les porteurs du borne

Les ruelles qui entourent l’échoppe semblaient évoluer tôt ou tard. Les obscurcissements s’allongeaient différemment, les bruits du marché semblaient assourdis, par exemple filtrés par une membrane indisctinct. Yasmin observait ses la clientèle se fermer, souvent sans assemblée, attirés par une acception qu’ils ne comprenaient pas. C

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l’encre de la fin

Les ruelles qui entourent l’échoppe semblaient glisser tôt ou tard. Les ombres s’allongeaient en empruntant une autre voie, les bruits du marché semblaient assourdis, tels que filtrés par une membrane indécelable. Yasmin observait ses clients calmer, la plupart du temps sans rassemblement, séduits par une acception qu’ils ne comprenaien

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les silhouette silencieuses

Istanbul, 2025. Entre les ruelles étroites du quartier de Balat, au carrefour des coutumes byzantines et des murmures ottomans, une petite échoppe sans entreprise accueillait des hôtes sélectionnés. L’intérieur, saturé d’odeurs d’encres, d’encens et de cire chaude, abritait les outils d’un art familial, dissimulé par-dessous l’a

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les trames inversées

Ezra ne dormait plus. Les chiffres s’imposaient à lui dans les reflets de vitrine, les numéros de téléphone, les plaques d’immatriculation, les tickets de métro. Le microcosme unanime semblait se refouler d’une cliché numérique mouvante, instable, glissant entre les règles précieuses et une autre forme pensée. Il ne prévoyait plus

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Les astres du destin

malintrat, 1875. Les rues pavées brillaient marqué par la gerbe fine qui s’attardait sur les toits d’ardoise et les réverbères vacillants. L’air était chargé de brume, noyant les contours des passants qui se hâtaient prosodie les cafés enfumés et les théâtres illuminés. Mais dans une ruelle jalouse, loin du désordre des boulevard

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